En plein été évidemment : Passons à la nomination des capitales des 13 “régions machins, ont dû se dire l'équipe des menteurs sectaires qui nous “gouvernent” ! Ceux-là, Hollande, Valls, Macron et toute la clique des hauts fonctionnaires, dont on dit sans rire, qu'ils sont les grands serviteurs de l'État… car surtout pas du citoyen ! Même si à verbe très haut dans leurs discours, président-monarque et premier ministre nous assènent que nous sommes en république… que le pacte républicain… que la loi républicaine… Assez ! nous sommes gavés !
Mais voilà, passant outre leurs discours républicains faussement démocrates, un soir sur un coin de table, cette dictature républico-monarchique faisant fi de ses signatures d'application des lois européennes, a sabré l'hexagone et son histoire en 13 morceaux. D'où ces “machins” où la plupart doivent trouver une capitale car nos édiles “du passé faisant table rase,” ont voulu tout effacer ! comme en 1789. C'est par ce bond en arrière, que ces passéistes nous plongent dans leur machin régional” !
Car vivant dans et, avec leurs mensonges, ils continuent de dire que changer les limites de la Région est du ressort du Parlement. Faux ! Et de plus, l'État français demande toujours aux états de UE de respecter les lois européennes mais ne le fait pas chez lui !
Aussi rappelons donc la loi européenne passant au-dessus des lois françaises et le refus de leur diktat :
À l'article 5 de la Charte européenne de l'autonomie locale - Protection des limites territoriales des collectivités locales – il est dit : “Pour toute modification des limites territoriales locales, les collectivités locales concernées doivent être consultées préalablement, éventuellement par voie de référendum là où la loi le permet. Et à l'article 55 de la Constitution : “Les traités ou accords régulièrement ratifiés ou approuvés ont, dès leur publication, une autorité supérieure à celle des lois, sous réserve, pour chaque accord ou traité, de son application par l'autre partie. Depuis la jurisprudence n° 358992 du Conseil d'État du 10 février 2014, la Charte européenne de l'autonomie locale peut utilement être invoquée en droit interne français.
Quant au nom et à la désignation de la capitale de ces régions-croupions,“on demanderait l'avis de la population”… mais après les élections régionales. Dame ! Il sera bien plus facile, scrutin fermé, de passer outre la promesse.
Car c'est terrible. Tout se précipite autour de ce scrutin régional de décembre prochain. Il faut vite toutes affaires cessantes, s'occuper de la Charte Européenne des langues régionales, signée depuis plus de 15 ans mais jamais ratifiée. En cause le rejet des Conseils Constitutionnel et d'État ! Et pour cela encore modifier la Constitution, d'où réunion du Parlement à Versailles.
C'est pas possible ! Au-delà du “périph”, qu'est-ce qu'ils nous emm… ! se disent-ils.
Eh ! Oui, que ces Serviteurs de l'État se le disent et se le répètent : dans l'urne, nous ne sommes plus les “minoritaires” mais la “majorité”.
Pour cela, que les Bretons se rappellent que les partis politiques nationaux sont dominés par Paris, et donc, que le vote breton doit être le réflexe incontournable.
C'est à cette condition que la Bretagne redeviendra historiquement “UNE ”, maîtresse de sa langue, de sa culture et des emplois de ses jeunes afin d'arrêter la fuite des cerveaux vers l'étranger de ce rectorat qui est le premier de l'Hexagone et qui les a formés à l'excellence !