Marie de Blic (à dr) à la tribune
Marie de Blic (à dr) à la tribune © autre

Ce 10 avril, Marie de Blic participait à un Forum organisé par la Maison de l’Europe de la Sarthe sur l’avenir de l’Europe sociale, en présence d’autres candidats à l’élection

Ce 10 avril, Marie de Blic participait à un Forum organisé par la Maison de l'Europe de la Sarthe sur l'avenir de l'Europe sociale, en présence d'autres candidats à l'élection européenne : Isabelle Thomas (PS), Elisabeth Morin-Chartier (UMP), Yannick Jadot (EELV), Jean Arthuis (L'Alternative) et d'un représentant syndical, Mariano Fandos (CFDT)

Lors de sa présentation, elle a fait remarquer que les vrais gens, dans la vraie vie, veulent vivre de leur travail, et ne comprennent pas qu'on puisse envisager le surendettement comme une solution ! Les propos récents de M. Martin Schulz, candidat (PSOE) à la présidence de la Commission européenne sont à cet égard totalement surprenants.

Evoquant encore l'emploi, outre l'intégration de la dimension familiale des travailleurs dans les politiques et son soutien à la Garantie Jeunesse, elle a appelé notamment à une harmonisation de l'impôt sur les sociétés dans l'UE, pour rétablir un équilibre dans la concurrence sur le marché européen, et donc l'emploi.
Répondant à une question sur la francophonie, elle a aussi souligné combien les langues font partie du patrimoine commun et méritent qu'on en pratique au moins deux en Europe

Enfin, elle a souligné la particularité de ce scrutin, élection proportionnelle à un seul tour, qui permet mieux que d'autres le vote de conviction. Pour tous ceux qui contestent la pratique actuelle des partis politiques vis-à-vis de l'Europe (désignation de candidats avant l'élaboration d'un programme, recyclage d'anciens élus, cumul de mandats donc absentéisme...), ou leur absence de cohérence sur le fonds, le vote pour le Label Force Vie le 25 mai garantit d'emblée une préférence pour l'humain avant toute autre logique

La France ne pourra devenir « apaisée » que lorsqu'on aura restauré le respect de tous, et l'Europe pourra alors compter sur une France plus présente et plus fraternelle