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- Communiqué de presse -
Div Yezh Rennes : Du breton dans mon école
Une trentaine de parents d'élèves des classes bilingues (Div Yezh) de l'école des Gantelles à Rennes se sont rassemblés le 14 mai dernier pour exprimer leurs inquiétudes quant à l'enseignement reçu par leurs enfants. Dans cette école du quartier de Maurepas, une filière bilingue français-breton existe depuis 10 ans.
Par Nadège Noisette pour Div Yezh Bro Roazhon le 18/05/09 16:12

Une trentaine de parents d'élèves des classes bilingues (Div Yezh) de l'école des Gantelles à Rennes se sont rassemblés le 14 mai dernier pour exprimer leurs inquiétudes quant à l'enseignement reçu par leurs enfants. Dans cette école du quartier de Maurepas, une filière bilingue français-breton existe depuis 10 ans.

De façon récurrente, les remplacements des enseignants absents ne le sont que par des personnels non bretonnants ou non formés. Cette année, les élèves de CP, CE1 et CE2 n'ont pas reçu un enseignement bilingue de qualité. Pour l'an prochain, la situation ne s'annonce pas meilleure...

Les parents d'élèves estiment que leurs enfants ont le droit de recevoir un enseignement bilingue et de qualité. Ces interruptions dans l'enseignement déstabilisent la filière et sont préjudiciables pour la scolarité des enfants.

Ils demandent :

- la création de postes de remplaçants bilingues sur l'Ille-et-Vilaine ;

- l'assurance que l'enseignement bilingue à l'école des Gantelles sera assuré correctement l'an prochain.

Cet article a fait l'objet de 1025 lectures.
Association des parents d'élèves des classes publiques bilingues français-breton de Rennes et ses alentours.
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Vos 1 commentaires
Ghildas Durand Touz, Dr Le Mardi 31 août 2010 23:27
Parents d'un ancien "skoler brezhonneger" des Gantelles, nous avons regretté ne pas pouvoir nous joindre à votre action. Si ces questions de remplacements existent encore de façon récurrente, c'est vraiment qu'il y a volonté consciente et concertée de nuire à nos droits fondamentaux. Ceux qui le font, se rendent complices d'un crime contre l'humanité, car, vouloir empêcher la sauvegarde d'une langue, c'est un crime, et un crime contre le patrimoine de l'humanité. Quand les Français s'en rendront compte pour la leur, il sera peut-être trop tard pour la nôtre. Gh.D.T
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