On se perd en conjectures. Après la mort d'un cheval, de deux chiens, de 38 sangliers et marcassins, que faut-il attendre encore ... ?
La presse nationale s'empare de l'événement, Le Monde de ce jour titre "Algues vertes : l'insupportable déni". Et de citer le président venu à Crozon le 7 juillet et déclarant : "sur cette affaire d'algues vertes, il serait absurde de désigner des coupables, de montrer du doigt les agriculteurs qui font d'énormes progrès en la matière".
Il est bien connu que les écologistes bretons sont de doux rêveurs, que nos chercheurs sont incompétents et que l'agriculture industrielle qui continue à ouvrir de nouveaux sites d'élevages n'a rien à voir avec les catastrophes actuelles (cyanobactéries, algues vertes, ...).
Comme un alcoolique qui nie qu'il boit, la Bretagne ne voit pas l'immense catastrophe écologique qui se produit sous ses yeux et continue, impunément à augmenter, concentrer, planifier ...