Les avocats des detenus bretons arrêtes dans l'affaire de la cache d'arme de l'IRA ont obtenu leur libération par le parquet. Me Omez, un des avocats, a déploré que " danser, chanter et parler breton ça vous met à la merci éventuellement de la justice ".
Me Omez a aussi déclaré que" le dossier ne reposait sur rien" et que les accusés n'avaient eu "aucun contact avec quiconque qui puisse justifier l'étalage d'accusations auquel s'est livré le parquet dans la presse ces derniers temps".