Professeur exemplaire, Martial Kernévot (nom imaginaire, mais faits réels) a cru flirter, en 2010, avec une amie de 17 ans qu’il aidait dans son travail scolaire. Elle ne signalait que des faits légers, et une souffrance psychologique due à ce comportement inattendu. Brutalisé, menacé, humilié et drogué en garde à vue, le prof a avoué et signé tout ce que les gendarmes ont voulu lui faire signer. Mis en examen pour « agression sexuelle » , expression générique qui, en justice, a une amplitude sémantique énorme et ne correspond pas au sens qu’elle a dans les dictionnaires, Martial a été l’objet d’une « enquête de moralité » uniquement soucieuse de détruire sa réputation et de lever d’autres plaintes. Son beau-frère et sa belle-sœur l’ont calomnié en lui attribuant des attouchements imaginaires sur leur fille, âgée de 8 ans. Malgré les incohérences de leurs propos, Martial a été mis en examen et encore condamné. Après sept ans de calvaire judiciaire et administratif et deux parodies de procès, ce prof intègre a été révoqué, sa carrière et sa vie brisées pour satisfaire le bon plaisir d'une institution judiciaire qui ne risque rien à condamner des innocents, car elle est au-dessus des lois.
La justice française se plaint de manquer de moyens: elle en aurait beaucoup plus si elle ne dilapidait pas l'argent public en lançant des procédures interminables contre des citoyens dont elle amplifie et falsifie les erreurs et finit par les transformer en parias et en parasites en les condamnant pour "agressions sexuelles", termes rédhibitoires qui interdisent tout travail dans la Fonction publique.
Le statut d'un prof face aux magistrats est très différent de celui de politiques, de policiers, de célébrités... On peut, en France, être déclaré coupable, mais pas condamné, comme Chistine Lagarde ou Edmond Hervé (ce dernier parce qu'on "n'a pas respecté sa présomption d'innocence et tenu à son égard des propos excessifs", comme on le lit sur Wikipédia: Martail Kernevot n'a pas eu une seconde de présomption d'innocence, et les magistrats l'ont humilié et insulté ne le sont pas les djihadistes ou d’autres criminels). On peut vendre sa fille de 12 ans sur internet, comme ce couple de magistrats libertins de Dijon, sans faire l'objet d'une procédure pénale.On peut être condamné, mais dispensé de peine, comme Michel Delebarre. On peut être acquitté d'une plainte pour viol, comme les policiers du Quai des Orfèvres qui ont sailli sans préservatif Emily Spranton, canadienne ivre-morte et dont le discernement pouvait sembler aboli. La juge d'instruction a mené une enquête contre elle au Canada, ce qui coûte cher à la société! Deux profs qui partouzeraient avec une femme ivre dans leurs établissements seraient-ils acquittés? Deux profs qui coucheraient avec une prostituée mineure, comme Benzéma et Ribéry, seraient-ils acquittés au bénéfice du doute? Un quidam qui mettrait une femme nue, en pleine rue, le visage couvert d'hématomes, verrait-il la plainte de sa victime classée sans suite, comme ça a été le cas pour Jean-Michel Baylet?
Cet ouvrage retrace le parcours de Martial Kernevot et publie dans leur intégralité les proses judiciaires authentiques qui le concernent, en mettant en relief leur mauvaise foi, leurs incohérences, leur grossièreté. Ce témoignage terrifiant montre le souci exclusif des magistrats français de combattre la vérité et la justice en encourageant la calomnie et en mentant des dizaines de fois pour torturer leurs proies. Le Droit se transforme en Torsion.
A l'époque de "États généraux de la justice", nul a eu le droit de mettre en question l'honnêteté des magistrats français, dont ce témoignage montre qu'ils pratiquent couramment la charge, falsifient ou inventent des faits qu'ils qualifient ensuite de délictueux, détruisent la société et exigent qu'on les plaigne.
Puisse ce témoignage servir à une réforme du système judiciaire français qui obligerait les magistrats à respecter la loi et à ne plus se faire plaisir en détruisant des citoyens pour le plaisir de les détruire et d’en faire des parias.
Publié sur Librinova, cet texte a obtenu des échos flatteurs de certaines maisons d’édition, qui sont hélas trop frileuses pour le publier : « Intéressant et très bien référencé, mais impubliable » (Fayard), « Récit prenant mais pas assez romanesque » (Seuil), « On vous lit avec effroi » (Éditions de l’Ogre), « Un texte qui ne peut laisser indifférent » (Éditions du Sonneur), « Intéressant et plein de qualités » (Plon)... Plon le publiera s’il s’en vend assez sur Librinova :
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