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Préservons l'Intercité Quimper-Nantes
Christian Troadec et Gilles Denigot, respectivement têtes de liste aux élections de décembre 2015 dans les deux régions qui administrent la Bretagne (Bretagne et Pays-de-la-Loire), n'acceptent pas la suppression de
Par Gwion MOREL pour Comité de soutien Quimper et Pays Glazik "Oui La Bretagne" le 15/10/15 11:13

Christian Troadec et Gilles Denigot, respectivement têtes de liste aux élections de décembre 2015 dans les deux régions qui administrent la Bretagne (Bretagne et Pays-de-la-Loire), n'acceptent pas la suppression de la liaison Quimper-Nantes en Intercités qui semble être programmée. Alors que des sommes considérables vont être investies dans de nouvelles lignes TGV, affaiblir les liaisons ferroviaires au Sud de la Bretagne reviendrait à centraliser encore un peu plus les transports en France et à abandonner la pointe ouest de la Bretagne.

Cette liaison permet aux Bretons de continuer à circuler sur leur territoire malgré la division administrative, et offre à la Bretagne une ouverture vers Bordeaux et le Sud de l'Europe, sans faire de détour par Paris. Si les trajets Intercités sont supprimés sur cette ligne, il faudra les remplacer par des TER et obtenir une compensation de ce surcoût par l'Etat.

Afin d'informer les voyageurs de l'intérêt du maintien de la ligne Quimper-Nantes, le Comité Local de Quimper et du Pays Glazik de la plateforme électorale « Oui la Bretagne ! » ira à leur rencontre en gare de Quimper le vendredi 16 octobre 2015 à partir de 17H30.

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Vos 1 commentaires
Paul Chérel Le Jeudi 15 octobre 2015 15:01
Bien sûr qu'il faut, non seulement conserver la liaison ferroviaire directe Quimper-Nantes, mais il faut exiger des liaisons plus fréquentes et plus rapides, avec, en prime, la continuation sur Brest. Les villes principales de Bretagne, sur le plan économique seront enfin réunies de façon efficiente. Il faut que le futur Conseil régional fasse accepter cela par la SNCF, et, en cas de refus, plus aucune participation financière bretonne aux projets initiés dans les bureaux parisiens. Vive la SNCB ! Paul Chérel
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