Sioc Le Jeudi 5 décembre 2013 14:09
Tant mieux si c'est vide !
La Bretagne, comme toute autre région Française, n'a pas a vouloir vivre d'aides d'état (d’où vient l'argent d'ailleurs, si ce n'est des poches même de ceux qui le reçoivent ?)
Nous devons ré-apprendre à ne vivre que de notre travail et de nos initiatives. Tout le reste c'est de l'assistanat. Personne n'est fier d'être un assisté.
BD Le Jeudi 5 décembre 2013 15:36
Décidément, pour une fois que c'est court, il faut revenir hélas sur des bases : la Bretagne ne cherche pas l'assistanat mais le juste retour de ce qu'on lui confisque et la liberté de choisir ses orientations économiques.
Ronan Badouel Le Jeudi 5 décembre 2013 17:57
C'est justement de cette façon que le gouvernement veut désamorcer l'unité bretonne renforcée par le mouvement des bonnets rouges. Contraindre Bécassine à biberonner une subvention si généreusement distribuée par Paris! Rappeler le centralisme en donnant l'aumône, faire taire ces satanés empêcheurs de gouverner en rond en omettant soigneusement d'aborder la question de l'autonomie par exemple...!
André Corlay Le Jeudi 5 décembre 2013 20:14
Que d'utilisations illégales du mot "Bretagne", quand ne devrait être utilisée que l'expression "Région Bretagne" ! Cette subornation par un État devrait pouvoir être poursuivie par une cour internationale.
Dans tout ça, que sont censés devenir les 1,4 million de Bretons émigrés chez eux, dans leur grand sud du 44, derrière le mur de la honte, véritable ligne de démarcation ?
Sérieux, ces politicards pensent vraiment que ces Bretons vont faire définitivement une croix sur leur passé, tout simplement parce que Paris l'a décidé, et devenir à vie de "braves" ligériens sans broncher ?
Ils rêvent ! Quelque chose me dit que les fabricants de bonnets rouges peuvent tranquillement investir dans un renouvellement de leur stock...!