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- Dépêche -
Un à deux milliers de personnes à la Gay Pride : la Bretagne arc en ciel à Rennes
Gays, lesbiennes, bi, trans et tous les autres... Ils étaient tous là samedi dans la rue pour La Marche des Fiertés de Rennes. Partie vers 14 h de l'Esplanade du général de Gaulle, la Gay Pride s'est prolongée par une soirée au Jardin Moderne, de 22 h 30 à 6 h du mat'. Même combat ce week-end à Lyon, Strabourg, Caen et Bordeaux....
Ronan Le Flécher pour ABP le 12/06/10 19:26

Gays, lesbiennes, bi, trans et tous les autres... Ils étaient tous là cet après-midi dans les rues de Rennes pour La Marche des Fiertés. Partie vers 14 h de l'Esplanade du général de Gaulle, la Gay Pride se prolongera par une soirée au Jardin Moderne, de 22 h 30 à 6 h du matin.

Le premier temps fort de la soirée sera un défilé de « créatures » entièrement lookées par Rita Love. Mannequins en herbe, icônes décalées, clichés revisités, le tout en musique seront au rendez-vous. Place ensuite à des équipes de DJ pour des sets de disco revisité, de house, de russian clubbing.

En marge de la Marche de cet après-midi, un village associatif avait été monté dans le jardin du Thabor. "Notre but est de populariser nos messages, de faire connaître nos revendications. Il faut donc aller vers le grand public, être là où les gens sont", a indiqué Erwan Le Hô, vice président du Centre gay lesbien bi et trans de Rennes (CGLBT), au magazine Internet alter1fo.com.

Lutter contre les discriminations

Au quotidien, cette association mobilisée pour l’égalité des droits et dans la lutte contre les discriminations touchant les personnes homosexuelles, bisexuelles, transexuelles et leurs proches accueille dans son local au 23 rue d’aiguillon, dans le quartier Bréquigny, tous les mercredis de 18 h à 22 h . (voir le site)

Le thème choisi pour cette marche des fiertés était cette année : « Éduquer pour avancer ensemble ». Ce même jour, d'autres villes manifestaient pour la même cause : Gay Pride à Caen, Pride LGTB à Bordeaux, Festigays à Strasbourg et Marche des fiertés LGBT à Lyon.

Voir aussi :
Cet article a fait l'objet de 2962 lectures.
Vos 9 commentaires
PHILIPPE BRIAND Le Mardi 31 août 2010 23:27
CE GENRE DE MANIFESTATION MONTRE SEULEMENT QUE CERTAINS CITOYENS PENSENT ETRE SUPÉRIEURE AUX AUTRES EN RÉCLAMENT DES DROIT SUPPLÉMENTAIRES....????
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Alexis Godde Le Mardi 31 août 2010 23:27
Le com de Philippe montrerait-il qu'il pense les homosexuels inférieurs pour vouloir qu'ils aient toujours des droits en moins ?
Car les revendications LGBT, ce sont des droits égaux, ni plus, ni moins !
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mathieu ménard Le Mardi 31 août 2010 23:27
La décadence en provenance des USA nous touche également.
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Jérémie DAVID Le Mardi 31 août 2010 23:27
@ Philippe Briand et Mathieu Ménard
En quoi militer "pour l'égalité des droits et dans la lutte contre les discriminations touchant les personnes homosexuelles, bisexuelles, transexuelles et leurs proches" est-il une revendication de supériorité ou la preuve d'une pseudo-décadence ? A moins que vous ne vouliez parler de ce bon vieux temps où l'homosexualité était illégale, voire passible de mort... auquel cas je vous invite à aller vivre en Arabie Saoudite, en Iran, au Yémen ou dans une autre de ces charmantes contrées qui sont certainement des modèles de société à vos yeux.
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Bernez Jack Le Mardi 31 août 2010 23:27
@ PHILIPPE BRIAND Vous avez strictement le meme discours que ces jacobins à l'encontre des bretons qui revendiquent une juste place pour leurs langues. Le mécanisme est le meme.
Nous ne sommes plus au moyen age.. et la terre n'est pas plate monsieur Briand.
Seurt traoù a zispleg splann eo ret stourm c'hoazh hag adarre a-benn chench penn d'ar vazh. Kasoni a cheller lenn bepred. Tud ne zeskont ket, ne zeskint biken, daoust dezho klevet seurt sotonioù enep o stourm dezho. Peurhenvel ar veli, n'eus forzh pe tu e teufe : a-enep hor yezh, pe a-enep an henvelreizhidi. Chom hep kompren ur veli a ro abeg d'an aotrouniezhoù a-bezh. Seurt tud ne tellezont ket ar frankiz e c'houlennont evito.
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Bertrand Finel Le Mardi 31 août 2010 23:27
Que chacun vive selon son bon plaisir... tant que celui-ci ne nuit pas aux autres !
La Bretagne se doit d'être un pays libre et démocratique, ou tout individu doit avoir le choix, à commencer par celui de faire valoir sa "différence" et son droit à exister pour ce qu'il est, et ce en dehors de tout préjugé !
N.B: je n'apprécie que la tendresse de ces dames !
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mathieu ménard Le Mardi 31 août 2010 23:27
Tout le monde est égal devant la loi, à cet égard il n'existe aucune loi sanctionnant spécifiquement les homosexuels.c'est donc une escroquerie intellectuelle que de venir le dire.
Le seul critère réellement discriminant est social. Plus de 150 professions libérales à l'assemblée nationale, encore plus de hauts fonctionnaires, aucun ouvrier. Voilà de la discrimination obkective qui aboutit dans le travail du législateur à des décisions qui ne reflètent pas les intérêts du peuple et des travailleurs.
L'activisme gay essaie de nous faire croire à une homogénéité de conditions au nom d'une sexualité commune. C'est là la plus grosse arnaque. C'est aussi crédible que de dire que tous les échangistes partagent un même sort, sans regarder leur appartenance sociale. Il n'y a aucun point commun entre un agriculteur homosexuel de la Creuse et un homosexuel patron d'une boîte de publicité dans le Marais.
L'activisme gay en réalité est l'oeuvre de gens appartenant aux couches moyennes supérieures qui tentent de se faire passer pour des dominés et victimes (dans un dévoiement de la doctrine marxiste et socialiste) en évoquant cette histoire d'orientation sexuelle. Objectivement ils sont au contraire très bien intégrés socialement, souvent à l'aise économiquement. À cela s'ajoute le fait qu'ils ne représentent qu'eux mêmes et non pas "les" homosexuels étant entendu qu'il n'y a pas de groupe homosexuel uni et homogène.
C'est là que l'on voit toute l'arrogance de la bourgeoisie, tentant de parasiter le suffrage électoral et le civisme, qui est le rapport de l'individu au collectif selon des règles décidées démocratiquement, en agissant en groupe de pression à leur profit pour masquer leur appartenance à la classe socialement dirigeante.
EN 2010 aucun homosexuel n'est pénalement réprimé pour son orientation sexuelle. Pour l'embauche, il existe déjà des lois concernant le licenciement abusif.
Nous avons à faire à une minorité favorisée qui veut le beurre (l'image transgressive), l'argent du beurre (la reconnaissance) et le sourire de la crémière (l'aide due à sa position victimaire).
Sur le plan social et politique, c'est ce qu'on appelle une imposture.
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Bernez Jack Le Mardi 31 août 2010 23:27
@ mathieu ménard Ce qui revient à dire sur la problématique bretonne :
"Tout le monde est égal devant la loi, à cet égard il n'existe aucune loi sanctionnant spécifiquement les bretons. c'est donc une escroquerie intellectuelle que de venir le dire.
Le seul critère réellement discriminant est social. Plus de 150 professions libérales à l'assemblée nationale, encore plus de hauts fonctionnaires, aucun ouvrier. Voilà de la discrimination objective qui aboutit dans le travail du législateur à des décisions qui ne reflètent pas les intérêts du peuple et des travailleurs.
L'activisme breton essaie de nous faire croire à une homogénéité de conditions au nom d'une culture commune. C'est là la plus grosse arnaque. C'est aussi crédible que de dire que tous les rennais partagent un même sort, sans regarder leur appartenance sociale. Il n'y a aucun point commun entre un agriculteur breton du Kreiz Breizh et un patron breton d'une boîte de publicité à Rennes.
L'activisme breton en réalité est l'oeuvre de gens appartenant aux couches moyennes supérieures qui tentent de se faire passer pour des dominés et victimes (dans un dévoiement de la doctrine marxiste et socialiste) en évoquant cette histoire d'orientation culturelle. Objectivement ils sont au contraire très bien intégrés socialement, souvent à l'aise économiquement. À cela s'ajoute le fait qu'ils ne représentent qu'eux mêmes et non pas « les » bretons étant entendu qu'il n'y a pas de groupe breton uni et homogène.
C'est là que l'on voit toute l'arrogance de la bourgeoisie, tentant de parasiter le suffrage électoral et le civisme, qui est le rapport de l'individu au collectif selon des règles décidées démocratiquement, en agissant en groupe de pression à leur profit pour masquer leur appartenance à la classe socialement dirigeante.
EN 2010 aucun breton n'est pénalement réprimé pour son orientation culturelle. Pour l'embauche, il existe déjà des lois concernant le licenciement abusif.
Nous avons à faire à une minorité favorisée qui veut le beurre (l'image transgressive), l'argent du beurre (la reconnaissance) et le sourire de la crémière (l'aide due à sa position victimaire).
Sur le plan social et politique, c'est ce qu'on appelle une imposture."
Toutes les dominations se valent, et tous les dominants, par peur de perdre leurs privilèges de dominants retourne à la face des dominés une figure de "privilégiés" ou de farfelus pour faire taire des inégalités criantes.
Le raciste se plaint du racisme des victime du racisme Les masculinistes se plaignent d'une incroyable et farfelue place dominante des femmes dans la société.
Les français qui apres avoir détruit nos langues, se plaignent que nos langues seraient dangereuses pour la leur...
Des blancs-males-catholiques-hétérosexuels qui se plaignent de communautarisme alors qu'ils représentent une communauté jalouse de ses privilèges.
Ce n'est pas nouveau. En langage pus imagé on appelle cela l'hopital qui se fout de la charité.
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mathieu ménard Le Mardi 31 août 2010 23:27
Votre pauvre parodie est inopérante: le lobby gay, qui représente une infime minorité d'individus et non pas l'ensemble des homosexuels qui ne sont pas une communauté distincte, n'a rien à voir avec un peuple qui peut prétendre à une série de droits fondamentaux reconnus et promus par l'ONU.
Les bretons, comme communauté culturelle, ont le droit d'avoir accès au bilinguisme, à l'intégrité territoriale et à une réelle représentativité. Il y a aujourd'hui une ostracisation culturelle contre la langue bretonne et une absence réelle de démocratie directe. Mais les individus bretons, en Bretagne, ne sont pas persécutés par un système sur le plan du droit commun: ils ont les mêmes droits et devoirs que n'importe quel citoyen français. Par ailleurs il est évident que l'accès à la reconnaissance des droits du peuple breton n'abolit pas les questions sociales en Bretagne.
Le combat breton concernant l'accès au droit du peuple à disposer de lui même se fonde sur une volonté d'accroître la liberté des individus membres de ce peuple contre une tentative d'éradication. Que l'appareil d'état français ait acculturé les bretons n'abolit pas pour autant la réalité de ce peuple, ni celui du peuple Kanak, corse, basque.
La rhétorique qu'avance l'intéressé est étrangement la même que celle dont usaient les colonialistes français en Algérie: votre prospérité et vos droits sont garantis par la France qui vous a offert sa culture !
Les violations sont patentes en Bretagne sur le plan culturel, droits reconnus internationalement: droit à l'intégrité territoriale, à l'autonomie, à la langue, à l'enseignement de l'histoire.
Donc Bernez Jack peut retourner à ses chères études quand il aura compris qu'un activisme minoritaire sur l'orientation sexuelle individuelle (par ailleurs totalement libre et non pénalisée) n'a rien à voir avec la résistance à une politique de destruction culturelle et politique menée contre un peuple dans son ensemble, hier en Algérie, aujourd'hui en Bretagne, en Corse, en Calédonie, au Pays Basque, en Alsace, etc. par le biais de l'interdiction de l'autonomie, de l'accès à la langue et à l'histoire au plus au niveau de l'état et ce systématiquement.
En démocratie, pour représenter quelqu'un il faut être mandaté par lui. Cela vaut pour tout, pour le combat breton comme pour le reste. Le système électoral français est conçu par nature pour limiter le poids du peuple. Cependant on a pas vu d'élections par les homosexuels de délégués spécifiques mandatés par eux pour parler en leur nom. On le comprend, il n'y a pas de communauté sexuelle globale.
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